Nos Étoiles Contraires - John Green - Les Chroniques de la Fraise

Auteur(e) : John Green

Édition : Nathan

Genre : Drame – Tranche de vie

Nombres de pages : 323 pages

Prix : ~15€

Ma note /5 :

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La quatrième de couverture :

❝ Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu’elle s’y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d’autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature.
Entre les deux adolescents, l’attirance est immédiate. Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie. ❞

Toi qui viens régulièrement sur le blog (laisse-moi rêver…) ou pour toi qui le découvre, il faut dire que ce style de roman n’est pas du tout dans mes habitudes de lectures… Je suis plus branchée fantasy, dystopie et new romance…mais ! Mais ! Un jour en me promenant au Furet du Nord et ne sachant pas quoi acheter, oui je ne suis pas logique vu la pile à lire que j’ai, bref je ne vais pas revenir dessus. :p En gros, j’ai fait ma curieuse, j’ai voulu découvrir pourquoi tout le monde parlait de ce roman et de cet auteur et j’ai voulu par moi-même constater ces dires.

Le roman te plonge directement dans le vif du sujet, radical, clair, net et précis. Hazel, 16 ans, cancer du poumon très avancé. Ok, okay ! Tu te dis qu’il ne va pas y avoir d’ambiance et que le roman va être un long monologue sur cette jeune fille malade… mais non, John Green a donné à son personnage le pouvoir de se détacher de sa maladie, de parler avec une certaine légèreté dans ses discours et d’utiliser l’humour pour parler d’une chose qui tue. Tout ça pour dire que dès les premières pages j’ai été emportée dans le tourbillon « Hazel » grâce à un style d’écriture très léger et à la fois direct, sans détour.

Franchement, je ne m’attendais pas à lire ce livre en une journée… Il n’est pas très gros, mais en plus, l’histoire est très prenante. Une fois plongée dans cette petite tranche de vie je n’ai pas pu décoller mon nez du livre, je me suis surprise à vouloir découvrir de quelle manière allait se terminer la vie d’Hazel, car dès les premières pages le lecteur se doute bien que la fin du roman ne va pas être toute rose…

Les pages s’enchaînent et Hazel fait des rencontres, que j’ai beaucoup appréciées, comme Issac, et surtout Gus, Augustus qui va changer sa manière de voir beaucoup de choses. Le roman est beaucoup tourné sur l’évolution de l’histoire d’amour d’Hazel et Gus, du début de celle-ci jusqu’à la fin. Justement la fin du roman… Je ne vais pas dire ici comment cela se termine, si tu n’as pas lu le livre et que tu veux savoir, cours à la librairie la plus proche ! 😉

Donc, cette fameuse fin, c’est simple n’ayant pas connu dans mon entourage très proche la maladie, j’ai été très touchée par cette fin. Je me suis pris la dure claque de la réalité. Personnellement, je ne m’attendais à cette fin, j’ai sans doute été trop habituée au « happy end » et c’est peut-être ça aussi qui fait que ce livre m’a beaucoup marqué…

Nos étoiles contraires est un très bon livre dans l’ensemble, pour ma part, j’ai trouvé la rencontre avec Peter Van Houten un peu farfelue, c’est la partie la moins intéressante du livre pour moi, mais sinon pour le reste tu peux foncer tête baissée et lire !

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