// Alexiane de Lys // J’ai Lu // Fantastique // 704 pages
À bientôt 18 ans, Cassiopée est contrainte de quitter l’orphelinat où elle vit depuis l’accident qui a tué sa mère. Seule au monde et lâchée dans la ville, elle a la désagréable et persistante impression d’être suivie… Un soir, elle est violemment agressée par deux inconnus. Très mal en point, elle est sauvée de ce mauvais pas par un mystérieux et séduisant garçon, Gabriel. Leur rencontre n’est pas un hasard. Grâce à lui, Cassiopée découvre sa véritable nature : elle appartient aux Myrnes, un peuple ailé doté d’incroyables pouvoirs sensoriels. En pleine métamorphose, la jeune fille se lance dans cet univers totalement nouveau avec l’espoir de percer, enfin, les mystères de son passé.
Hey ! Oui c’est encore moi ! Je reprends au fil des jours plaisir à tapoter sur mon clavier pour ici. :p On se retrouve donc pour une petite chronique sur la fin d’une saga que j’ai entièrement écoutée en livre audio via Audible et que j’ai énormément aimé. Les Ailes d’émeraude, tome 3 l’île des secrets de Alexiane de Lys. J’ai lu ce dernier tome une fois que celui-ci est sortit en poche dans les nouvelles éditions de chez J’ai Lu. Il faut également avouer que ces nouvelles couvertures sont magnifiques et attirent deux fois plus l’oeil ! MAIS, le plus important c’est le contenu du livre. Nous sommes bien d’accord. :p
Les ailes d’émeraude, tome 3 : un fin de saga épique !
Je vais t’épargner un résumé maison, comme d’habitude, je ne suis pas au point et je risque de te spoiler sans le vouloir. Toutefois, je peux te dire que ce troisième tome répond très bien à mes attentes. Il reprend parfaitement là où l’on s’est arrêté à la fin du second tome. J’ai vraiment eu un coup de coeur pour le monde qu’Alexiane de Lys a créé, les personnages très attachants et un enchaînement de rebondissements. Tous ces points, créés par la suite un cocktail complètement dingue et très bien maîtrisé par l’auteur.
Parce que les larmes sont une fenêtre sur mon âme et que j’ai préféré laisser les volets fermés. Je ne veux pas les laisser sortir. Elles sont un peu mon chemin de croix. Je les laisse s’accumuler comme un lac souterrain. Ça me fait du bien de savoir qu’elles sont là, qu’elles m’appartiennent toujours.
J’ai trouvé que l’auteur joue encore plus avec nous, lecteurs, dans ce troisième volume. Tu vas encore une fois être emporté dans un tourbillon d’action et de rebondissements qui vont rapidement te donner envie de ne pas fermer le livre. J’ai beaucoup aimé ce qu’a fait l’auteur au milieu de ce troisième opus. Elle ne va pas se gêner pour te briser le coeur en mille morceaux. J’ai vraiment eu les boules ! C’était vraiment le rebondissement dont je m’y attendais pas du tout et quand il est arrivé. PAF ! Tu ne vois rien arriver.
Au-delà de cette effervescence, les personnages sont encore plus développés, travaillés pour arriver à l’aboutissement final. Cassiopée évolue énormément et doit prendre des décisions qui ne sont pas forcément simples pour elle. J’ai aimé aussi retrouver les autres personnages secondaires. La place que l’auteur leur donne dans l’histoire. Ils deviennent chacun très attachants. Une fois l’histoire terminée j’ai eu l’impression de quitter une belle famille.
– Je ne vais pas te dire d’écouter ton cœur parce que je trouve cette expression complètement stupide et niaise. Le cœur est traître, il ne nous fait pas toujours faire les bons choix. En revanche, le temps est un allié sûr. Lui ne trompe jamais. Le temps guérit, met l’amour, les intentions et les promesses à l’épreuve. Laisse le temps faire son action. Laisse-toi une semaine, un mois, un an, comme tu préfères. Et quand tu auras pris ta décision, je suis persuadée que ce sera la bonne.
Pour conclure, ce tome est donc encore une fois une petite pépite remplie de tout ce qui fait l’originalité, addictivité et la qualité de cette trilogie unique. J’ai écouté cette saga intégralement en livre audio, en passant de temps en temps sur la version papier. Je ne peux que te conseiller les deux formats pour plonger efficacement dans ce superbe univers.